Tout a commencé avec le procès fictif du 12 mars 2024, un événement majeur qui s'est tenu dans l'amphithéâtre Condorcet du pôle cathédrale. Sous le thème captivant des "féministes à la barre", cette initiative, en partenariat avec le bureau des étudiants en droit (BDE), a plongé le public dans une mise en scène immersive, offrant une réflexion profonde sur les enjeux juridiques liés à l'égalité des sexes.
Cinéma et littérature : exploration des nuances de la condition féminine
Sur sa lancée, l'UPJV a investi l'amphithéâtre Simone Veil du pôle universitaire citadelle : un ciné-débat autour du film "Annie Colère" de Blanche Lenoir le 13 mars, suivi d'une adaptation du livre "Une Farouche Liberté" de Gisèle Halimi et Annick Cojean le 14 mars, ont permis d'explorer les nuances et les défis de la condition féminine à travers l'art et la littérature.
Une sensibilisation sur tous les sites de l’UPJV
Un forum associatif, axé sur la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, s'est tenu le 13 mars à la citadelle. Ce n’est pas tout : une exposition sur "Les femmes au cœur de l'urgence" est à découvrir jusqu'au 29 mars au bâtiment G du pôle campus sud !
L'impact des journées de l'égalité s'est également fait sentir sur les autres sites de l’UPJV. À Saint-Quentin et à Beauvais, un théâtre-débat intitulé "Plus Safe la Vie", orchestré par le SSE, a encouragé les étudiants à réfléchir aux violences sexistes et sexuelles omniprésentes dans la société contemporaine.
En mettant en lumière ces événements variés et en mobilisant des centaines d'étudiants, l'UPJV affirme son engagement indéfectible envers la promotion de l'égalité femmes-hommes. Ces journées sont bien plus qu'une célébration ; elles représentent un hommage vibrant à des figures emblématiques telles que Gisèle Halimi, tout en jetant les bases d'un avenir où l'égalité sera une réalité quotidienne.